ITW Jean-Manuel Sousa (Saint-Quentin) : « Rigueur et discipline en défense, liberté et talent individuel en attaque »
Ancien meneur de jeu, Jean-Manuel Sousa, formé au CSP Limoges, a ensuite fait de l’excellent travail à la formation du STB Le Havre, où il a été sacré deux fois Champion de France (2008, 2007). En Seine-Maritime, il en a vu défiler des joueurs : Ian Mahinmi, Pape Sy, Rudy Jomby, Fabien Causeur, Romain Duport… Mais aussi Mérédis Houmounou qu’il retrouve cette saison à Saint-Quentin. Joueur, « JMS » avait horreur de perdre. Entraîneur, il a toujours horreur de perdre. Entretien avec Jean-Manuel Sousa (50 ans), le nouveau coach du SQBB, qui a retrouvé un banc de touche. Le natif d’Ovar (Portugal) était sans club, après avoir été remercié par Cholet (Pro A), fin décembre 2013.
Comment avez-vous vécu votre période d’inactivité ?
Vous en avez profité pour regarder beaucoup de matches…
En quoi le terrain vous a manqué ?
Quand le SQBB vous a contacté, quelle a été votre réaction ?
Il va falloir un peu de temps…
Vos impressions sur le club ?
Comment jugez-vous votre équipe ?
Les dirigeants du SQBB vous ont-ils fixé des objectifs à votre arrivée ?
Chez les supporters, on espère les play-offs…
Vous avez joué au palais des sports Pierre-Ratte. Quel meneur de jeu étiez-vous ?
Une défaite vous a-t-elle mis hors de vous ?
Quel était votre point fort ?
Justement, pour vous, la première des définitions d’un meneur de jeu, c’est être un deuxième coach sur le terrain…
Quels joueurs de l’équipe saint-quentinoise ont les qualités pour coacher ?
Quel entraîneur êtes-vous ?
Après le succès du SQBB à Évreux (66-71) en 16es de finale de la Coupe de France, vous avez déclaré ‘’la défense doit être notre fonds de commerce’’…
Concernant le capitaine, votre choix s’est porté sur Mérédis Houmounou. Pourquoi ?
Votre fils pratique le basket, votre femme et votre fille y ont joué. On est très basket chez les Sousa…
Avec votre femme Patricia, ancienne meneuse qui a évolué au deuxième niveau national, ça doit parler beaucoup basket à la maison ?
Vous avez laissé pousser la barbe…
(Source : Aisne Nouvelle)