A la découverte de votre équipe : Kadri MOENDADZE
Après avoir terminé sa formation Espoirs à Cholet Basket, Kadri MOENDADZE a décidé de poursuivre son aventure avec le groupe pro. Rencontre avec le joueur originaire de Mayotte.
A quelques semaines du début de la saison, comment vas-tu ?
Je vais très bien, je suis en pleine forme, tout se déroule bien !
Peux-tu te présenter pour les gens qui ne te connaissent pas ?
J’ai 21 ans, j’entame ma sixième année à Cholet Basket. Je viens de Mayotte. J’évolue au poste 2-3.
Quel type de joueur es-tu ?
Je suis un assez bon défenseur, j’aime bien aller au rebond et j’amène plutôt de l’agressivité sur le terrain.
Que penses-tu apporter à l’équipe sur un plan collectif ?
J’aimerais bien apporter de la dureté en défense. Offensivement, tout vient tout seul, je ne me base pas vraiment sur le jeu offensif.
Quelles sont tes attentes sur le plan personnel ?
J’espère beaucoup travailler à l’entraînement afin de pouvoir jouer quelques minutes en pro.
Tu sors du Centre de Formation de Cholet Basket. C’était important pour toi de continuer ici ?
Oui c’est vraiment important. Ca me fait vraiment plaisir de voir que le club me fait confiance et m’intègre dans le groupe professionnel.
Qu’est ce que tu as fait pendant l’été pour rester en forme ?
Je suis parti 10 jours à Los Angeles pour m’entraîner individuellement. Après, je suis descendu à Mayotte pour participer aux Jeux des Îles qui se déroulaient à La Réunion.
Qu’est ce qui t’as donné envie de jouer au basket étant petit ?
J’ai commencé par jouer au football parce que mon père pratiquait ce sport et il m’avait inscrit dans un club. Ensuite j’ai suivi mes grands frères qui faisaient du basket.
Qu’est-ce que tu aimes faire sur Cholet ?
Je ne fais pas grand-chose à part rester chez moi et venir jouer au basket ! Quand je suis à Cholet, c’est vraiment que du basket, mon esprit est consacré à ça.
Pourquoi avoir choisi le numéro 23 ?
Parce que c’est un gros numéro, tout le monde le sait, c’est celui de Michael Jordan. Et puis je suis né un 23 janvier, donc je me suis dit « Pourquoi pas ? » (Rires)
Un mot pour le public choletais ?
Venez nous encourager, venez très nombreux, car on va tout donner pour vous !