La dernière recrue de Cholet Basket, le poste 4 américain Isaiah Miles, est arrivé à Cholet mercredi soir. Ce jeudi après-midi, il est venu faire connaissance avec sa future équipe et a découvert la Meilleraie. Nous y étions.

Isaiah Miles devient peu à peu Choletais. Arrivé mercredi soir dans les Mauges en provenance des Etats-Unis, le futur n°15 de Cholet Basket a découvert, ce jeudi après-midi, ses futurs partenaires et la salle de la Meilleraie.

Pas question de s'entraîner : le poste 4 (25 ans, 2,01 m), passé par Dijon et, la saison passée, par Limoges, doit d'abord répondre à une série de tests médicaux et d'analyses avant de pouvoir valider son contrat jusqu'à la fin de la saison. Ce programme est ainsi prévu pour vendredi.

"Je suis très content de pouvoir continuer ma saison, explique-t-il sur le banc de la Meilleraie pendant la séance d'entraînement de ses futurs partenaires. Cela fait 1 mois et demi que je n'ai pas joué, mais j'ai travaillé tous les jours chez moi avec un entraîneur personnel axé physique et basket. Maintenant, rien ne vaut la compétition. Je connais pas mal de joueurs de ce championnat français, notamment des Américains bien sûr. Je suis très heureux de retrouver la France. Quand j'ai joué ici, j'ai pu visiter Paris, Bordeaux, Monaco et Antibes. Ici, les ambiances sont toujours très sympa."

Le shooteur ne portera donc pas les couleurs de CB samedi lors de la venue de Chalon-sur-Saône (24^e journée d'Elite) : il pourrait étrenner son nouveau maillot, le samedi 7 mars... à Limoges.

"Ah ok ! Je ne le savais pas. Cette ville est incroyable sur le plan du basket avec cette salle et ces fans bouillants."

"Si tout est ok pour nous, explique Erman Kunter, Isaiah Miles sera à l'entraînement dès lundi. Nous pourrons donc jauger de sa condition physique et de son rythme pour savoir s'il pourra débuter avec nous à Limoges. Son dernier match (en G-League au sein des Delaware Blue Coats) remonte au 15 janvier. Donc, après un mois et demi sans jouer, peut-être aura-t-il besoin de plus d'une semaine pour être opérationnel."

Source : Ouest France